Newsletter Alidoro octobre 2016

Alidoro en bref

Adhérents ADEFIM : inscrivez-vous aux formations collectives !

L’ADEFIM Languedoc-Roussillon propose des actions « clé en main » répondant aux besoins en formation des TPE et PME du secteur. A ce titre, le cabinet ALIDORO a été sélectionné sur appel d’offre pour aider les salariés à développer leurs compétences sur les métiers en tension dans la Métallurgie.

Téléchargez le calendrier des formations ADEFIM de cette fin d’année 2016 :

  • Formation de formateur le mardi 6 décembre 2016
  • Mener un entretien professionnel le mardi 13 décembre 2016

Pensez à vous inscrire rapidement car les places sont comptées ! 

Entreprises bénéficiaires : les entreprises ADEFIM éligibles à ces actions doivent appliquer la convention collective de la métallurgie, être à jour de leur obligation légale au titre de la formation professionnelle continue et compter moins de 300 salariés.

Prise en charge : les coûts pédagogiques sont réglés directement par l’ADEFIM au centre de formation.
En effet, ces journées peuvent être financées jusqu’à 100% du coût pédagogique, avec le soutien financier du Fonds Social Européen (FSE) dans le cadre du programme opérationnel national « Emploi et Inclusion » 2014-2020, du Fonds Paritaire de Sécurisation des Parcours Professionnels (FPSPP) et de l’OPCAIM ADEFIM LANGUEDOC ROUSSILLON.

Pour tout renseignement complémentaire, vous pouvez nous contacter par téléphone au 04.99.61.16.30 ou par mail contact@alidoro.fr

                               

 

Formations Interentreprises pour les adhérents du FAFSEA

Il reste encore quelques places pour les sessions interentreprises de formation FAFSEA :

Pour plus de renseignements sur le contenu, cliquez sur la formation de votre choix.

Prise en charge : les coûts pédagogiques sont réglés directement par le FAFSEA au centre de formation.

Inscription : prenez contact avec Marie-Laure Lautier par téléphone au 04.99.61.16.30 ou par mail à marielaure.lautier@alidoro.fr

  

ALIDORO & le GEG2A recrutent un "Assistant de gestion" H/F

ALIDORO CONSULTANTS accompagne le GEG2A (Groupement d’Employeurs pour la Gestion Administrative des Associations) dans le recrutement d’un "Assistant de gestion" H/F.
Basé à Montpellier, le futur collaborateur appuiera la direction du GEG2A dans sa gestion administrative et réalisera la paie pour les structures adhérentes.
 
Principales missions sous la responsabilité de la Direction et de la Responsable Paie :

  • Effectuer les missions de secrétariat courant ;
  • Organiser le suivi des adhésions et la facturation aux associations adhérentes ;
  • Réaliser la paie (éditer les bulletins de paie ; calculer, déclarer et payer les cotisations sociales) ;
  • Produire les documents liés à l’embauche et à la fin de contrat.

 
Une expérience dans un poste similaire ainsi que la maitrise du logiciel Excel et d’un logiciel de paie sont indispensables.
La connaissance du secteur associatif et une sensibilité aux questions environnementales sont un plus.
Au-delà des compétences techniques nous recherchons un collaborateur partageant le savoir-être et les valeurs des membres de l’équipe actuelle : rigueur et méthode, réactivité et adaptabilité, disponibilité, force de proposition, aptitude et goût pour le travail en équipe, entraide et solidarité & bonne humeur !
 
Pour plus de renseignements, contactez Marie-Laure LAUTIER au 04.99.61.16.30 ou envoyez directement votre candidature à l’adresse suivante marielaure.lautier@alidoro.fr

Actualité RH

Le coût de la vie peut justifier une différence de traitement

La formule « à travail égal, salaire égal » exprime le principe de l'égalité salariale.
Cette règle, codifiée à l'article L. 2271-1, 8° du Code du travail, protège, certes, contre les différences de traitement en raison du sexe, de l’ethnie, ou de la nationalité. Mais l'employeur n'est tenu d'assurer l'égalité de la rémunération entre les salariés, qu'à condition qu'ils soient placés dans une situation identique.

Il est donc admis par la jurisprudence, qu'il peut y avoir une différence de traitement entre des salariés qui exercent la même fonction et disposent des mêmes diplômes et de la même ancienneté à condition que cette différence soit justifiée par des raisons objectives dont le juge contrôle la réalité et la pertinence.


Le coût de la vie fait partie de ces raisons pertinentes.   
Ainsi un travail identique réalisé dans des zones géographiques différentes peut être rémunéré différemment en raison de la différence du coût de la vie si l’employeur le justifie.

Sources : articles L.2271-1, 8° du Code du travail et n° 15-11386 de la Chambre sociale Cour de Cassation rendu le 14 septembre 2016

 

Le compte pénibilité : 6 nouveaux facteurs de risques

Le compte personnel de prévention de la pénibilité permet à chaque employé du secteur privé travaillant dans des conditions de travail difficiles d’accumuler des points afin de profiter :

  • d'une formation en vue d'une reconversion ;
  • d'un temps partiel payé à plein temps ;
  • ou d'un départ à la retraite anticipé.

Ces points se récoltent selon une échelle relativement simple : chaque facteur de risque donne droit à un point par trimestre. Les salariés peuvent ainsi accumuler jusqu'à 100 points au maximum. Cela concerne tous les salariés, quel que soit l’effectif de l’entreprise. Il suit la personne tout au long de sa carrière, jusqu'à son départ à la retraite.


Depuis l’été 2016, le compte personnel de pénibilité a franchi une nouvelle étape et intègre six facteurs supplémentaires de risques.


Les quatre facteurs qui étaient déjà en place depuis le 1er janvier 2015 sont : le travail répétitif, le travail de nuit, le travail en milieu hyperbare et le travail en équipes successives alternantes.
Les six nouveaux facteurs entrés en vigueur au 1er juillet sont : les manutentions manuelles, les postures pénibles, les vibrations mécaniques, les agents chimiques, les températures extrêmes, le bruit.

Pour en savoir plus : http://www.preventionpenibilite.fr

 

Le forfait jours sécurisé

Depuis plusieurs années, le dispositif du forfait jours donne lieu à des contentieux car il est parfois jugé non conforme aux exigences de droit à la santé et de droit au repos des salariés.
Pour y remédier, la loi travail du 8 août 2016 a réécrit les dispositions du Code du travail en sécurisant le dispositif.
Comme auparavant, l’accord collectif d’entreprise, ou, à défaut l’accord de branche reste indispensable à la mise en place du forfait-jour.


En revanche, elle réaffirme l’importance des outils de contrôle et d’un réel suivi de la charge de travail avec la mise en application d’au moins quatre règles essentielles :

  • établir un document de décompte des jours travaillés et de repos ;
  • assurer une charge de travail compatible avec les temps de repos obligatoires ;
  • organiser au moins un entretien annuel sur la charge et l’organisation de travail ;
  • préciser les modalités d’exercice du droit à la déconnexion.

En résumé, la loi travail sécurise la pratique du forfait jours sans remettre en cause les accords collectifs existants. En revanche, elle réaffirme l’importance des outils de contrôle et d’un réel suivi de la charge de travail.

Source : http://www.lemonde.fr

Fiche pratique

Le point sur le certificat de travail

Dans quel cas faut-il remettre un certificat de travail au salarié ? Comment l'employeur doit-il le rédiger ? Que risque-t-il s’il ne se soumet pas à cette formalité ?


Notre fiche pratique du mois d’octobre fait le point sur le certificat de travail, d’autant que la Cour de Cassation considère, depuis un arrêt du 13 avril 2016, que la remise tardive de ce document ne cause pas forcément un préjudice au salarié.
Si le certificat de travail doit répondre à des conditions de fond, la forme en revanche reste libre.

Téléchargez la fiche pratique

Le chiffre

21 indicateurs de qualité pour sélectionner les organismes de formation

Un OPCA est un "Organisme Paritaire Collecteur Agréé" en charge de collecter les obligations financières des entreprises en matière de formation professionnelle. L’Opca constitue également un interlocuteur privilégié pour les entreprises et salariés qui souhaitent se former.

Après plusieurs mois de travail, les vingt OPCA viennent de boucler l’ambitieux chantier de définition d’indicateurs communs et partagés qui permettront de référencer les prestataires de formation à partir de janvier 2017. Une liste commune de 21 indicateurs vient d’être publiée. 

Chaque indicateur est accompagné d’éléments de « preuves » que les organismes de formation devront fournir pour attester de leur conformité aux critères imposés par le Code du travail.
Les Opca pourront alors réaliser le référencement des prestataires qu'ils financent, éventuellement en leur demandant des informations complémentaires.

Téléchargez la liste des critères

Source : http://www.actualite-de-la-formation.fr