Newsletter Janvier 2019
Voeux 2019 |
Formations interentreprises du 1er semestre 2019 : réservez vos places dès à présent ! |
Au 1er semestre 2019, ALIDORO CONSULTANTS vous propose des stages dans le cadre de la formation professionnelle continue :
Téléchargez ici le planning des formations interentreprises du 1er semestre 2019 Pour plus de renseignements sur le contenu de la formation et les formalités administratives, cliquez sur la formation de votre choix pour télécharger le programme complet ou contactez-nous par téléphone au 04.99.61.16.30 ou par mail à formation@alidoro.fr |
Recrutement Chargé de Mission Salons de l’Agroéquipement Paris (H/F) |
ALIDORO CONSULTANTS recrute le Chargé de Mission Salons Agroéquipement (H/F) d’AXEMA-APS. AXEMA est l’union nationale des industriels de l’agro équipement. Rattaché(e) à la Responsable du Pôle International, ses missions principales seront :
Ce poste CDI est basé à Paris avec des déplacements en France et en Europe. |
Recrutement Comptable Montpellier (H/F) |
ALIDORO CONSULTANTS recrute un Comptable (H/F) pour son client Administrateur de biens, situé à Montpellier. Missions Rattaché(e) à la Direction vos missions sont les suivantes :
Profil
CDD 12 mois Temps plein Rémunération indicative : 22 à 25 K€ selon profil Le poste est à pourvoir rapidement. |
Publication de la loi portant mesures d’urgence économiques et sociales |
La loi portant sur les mesures d’urgence économiques et sociales a été définitivement adoptée le 21 décembre 2018. Elle met en œuvre plusieurs mesures annoncées le 10 décembre par le président de la République suite au mouvement des « gilets jaunes ». Nous vous proposons un point synthétique sur deux mesures de cette loi : l’exonération fiscale et sociale d’une prime exceptionnelle et l’anticipation de l’entrée en vigueur de l’exonération de cotisations salariales sur les heures supplémentaires et complémentaires. Prime de pouvoir d’achat
Anticipation de la réduction de cotisations sur les heures supplémentaires Source : Loi n°2018-1213 du 24 décembre 2018, JO 26 décembre |
Abondements CPF des salariés utilisant leur C2P ou en incapacité suite à un AT-MP |
La loi Avenir professionnel du 05 septembre 2018 organise la monétisation du compte personnel de formation (CPF) en 2019. Un décret du 27 décembre 2018 convertit en euros, à compter du 1er janvier 2019, l’abondement du CPF du salarié victime d’une incapacité permanente à la suite d’un accident du travail ou d’une maladie professionnelle (AT-MP), ainsi que l’abondement du salarié utilisant les points acquis au titre de son compte professionnel de prévention (C2P). Le taux de conversion est celui fixé par un décret du 14 décembre 2018 relatif au CPF, soit 15 € par heure. 375 € pour un point inscrit au C2P 7500 € pour la victime d’un AT-MP Source : décret n°2018-1256 du 27 décembre 2018, JO du 28 décembre |
Montant de la nouvelle aide à l’embauche d’un apprenti |
A compter du 1er janvier 2019, une aide unique versée par l’Etat remplace les 3 aides à l’embauche des apprentis (prime régionale pour les TPE, prime régionale pour les entreprises de moins de 250 salariés et aide TPE jeunes apprentis), le crédit d’impôt apprentissage, ainsi que l’aide aux employeurs d’apprentis handicapés. L’aide unique aux employeurs d’apprentis est réservée aux entreprises de moins de 250 salariés qui embauchent des jeunes préparant un diplôme ou un titre à finalité professionnelle équivalent au plus au baccalauréat. Le montant de cette aide est fixé au maximum, à :
Il est également de 1 200 € maximum au titre de la quatrième année, dans les cas où la durée du contrat d’apprentissage dépasse les 3 ans (échec à l’examen, travailleurs handicapés, sportifs de haut niveau). Le bénéfice de l’aide sera subordonné au dépôt du contrat d’apprentissage auprès de l’Opco (opérateur de compétences). Cependant, de manière transitoire, jusqu’au 1er janvier 2020 pour les contrats conclus jusqu’au 31 décembre 2019, l’aide sera subordonnée à l’enregistrement du contrat d’apprentissage par la chambre consulaire compétente. Source : décret n° 2018-1348 du 28 décembre 2018, JO du 30 décembre |
Prendre en compte la réforme de la formation professionnelle |
La réforme de la formation professionnelle, portée par la loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel du 05 septembre 2018, est entrée en vigueur le 1er janvier 2019. L’accord du salarié pour suivre une formation hors temps de travail
CDD ne donnant pas lieu au versement de la contribution « 1% CPF-CDD » Information des personnes sur le conseil en évolution professionnelle (CEP) Sources : décrets n°2018-1229, 2018-1230, 2018-1233 du 24 décembre 2018, JO 26 décembre Besoin d’être accompagné sur ce sujet dans votre structure ? |
Le taux de télétravailleurs avoisinerait 25% dans les entreprises françaises |
À l’heure actuelle, le taux de télétravailleurs avoisinerait 25% dans les entreprises françaises, selon une étude de Malakoff Médéric conduite en 2018. Néanmoins, seuls 6 % des salariés le pratiquent de manière contractuelle. Mais ce taux devrait augmenter rapidement : d’une part, la hausse des prix à la pompe devrait inciter à ce mode d’organisation. D’autre part, le cadre juridique est devenu plus favorable depuis l’ordonnance n°2017-1387 du 22 septembre 2017 qui assouplit les règles régissant le travail à distance. Désormais, le télétravail est en effet mis en place par accord collectif ou, à défaut, au moyen d’une charte après avis des représentants du personnel. En l’absence d’accord collectif ou de charte, lorsque le salarié et l’employeur conviennent de recourir au télétravail, ils formalisent leur accord par tout moyen. Il n’est plus nécessaire de modifier le contrat de travail. Des salariés plus productifs en télétravail Une nouvelle relation de travail à envisager Ces résultats nous interrogent donc sur la relation managériale et l’éventuel contrôle ou autonomie des télétravailleurs. En effet, lors d’une situation de télétravail, le rapport autonomie/contrôle du salarié questionne : la hiérarchie est moins présente physiquement, les relations sont supposées être fondées sur la confiance et non le contrôle. Le degré d’autonomie du collaborateur va avant tout dépendre de son management et de l’organisation qui l’emploie. Par ailleurs, le salarié étant pour une partie du temps au moins en dehors des locaux de l’entreprise, la question de l’évaluation, du reporting et de la performance se pose. Parfois, l’intervention de l’employeur n’est pas nécessaire car les collaborateurs développent d’eux-mêmes une forme d’autocontrôle. Source : Caroline DIARD, « Après 25 ans d’hésitations, la France semble se convertir pour de bon au télétravail », The Conversation |