Newsletter décembre 2019

Alidoro en bref

 

Alidoro fête ses 20 ans !

          20 ans 

La société Montpelliéraine ALIDORO CONSULTANTS fête en décembre 2019 ses 20 ans d’existence.

Fonction Ressources Humaines externalisée pour les TPE-PME régionales
Le concept initial est audacieux : proposer aux dirigeants des TPE-PME régionales (tous secteurs d’activités confondus) de jouer la fonction de Direction des Ressources Humaines de manière externalisée. En effet, les patrons régionaux ont des besoins RH sans avoir nécessairement les moyens financiers d’embaucher un DRH « maison ». Depuis 20 ans, l’équipe d’ALIDORO prend donc en charge, ponctuellement ou dans la durée, toute ou partie de la fonction ressources humaines aux côtés des Directions Générales. Une offre globale audacieuse et innovante !

Une implantation parisienne depuis 2013
L’équipe intervient sur l’ensemble du territoire français et plus spécifiquement dans le Sud de la France où est implanté le siège social, à Paris et en région Ile de France via l’agence Paris IDF (créée en 2013).

 equipe

L’entreprenariat au féminin
Ce sont 5 expertes qui assurent des missions RH à temps partagé, conseillent et accompagnent les dirigeants et les opérationnels dans la mise en œuvre de leurs projets RH et dans toutes les étapes de croissance ou de changement.
Et de surcroît, ces drôles de dames ont de jolis pédigrés !

 

Inscrivez vos collaborateurs à nos formations du premier semestre 2020

Que ce soit sur des thématiques liées à l’actualité RH sociale ou juridique, ou bien sur des stages permettant de développer l’efficacité professionnelle de vos collaborateurs, pensez à réservez votre place dès à présent !

Nos formations à venir :

Téléchargez ici le planning des formations du premier semestre 2020.

Pour plus de renseignements sur le contenu de la formation et les formalités administratives, cliquez sur la formation de votre choix pour télécharger le programme complet ou contactez-nous par téléphone au 04.99.61.16.30 ou par mail à formation@alidoro.fr 

 

Coordinateur de projets (H/F) Paris

ALIDORO CONSULTANTS recrute le Coordinateur de projets (H/F) pour l’APECITA,  association paritaire au service de l’ensemble de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de l’Environnement.
Elle a pour mission de mettre en relation les offres d’emploi et des candidats pour le secteur agricole.
L’APECITA recrute un Coordinateur de projets (H/F) pour coordonner et intervenir en support sur le déploiement du projet stratégique.

Rattaché(e) directement à la Directrice de l’APECITA, ses missions principales sont les suivantes :

  • Etablir un état des lieux et une « roadmap » des projets 
  • Accompagner le Siège et les 14 Délégations sur la mise en œuvre opérationnelle 
  • Assurer l’interface entre les fonctions supports du siège et les délégations sur chaque projet
  • Assurer une veille sur les appels d’offres et gérer les réponses en lien avec les acteurs internes
  •  Contribuer à l’élaboration de conventions de partenariat et faire vivre les partenariats 
  • Contribuer à l’amélioration continue et à l’innovation sur les pratiques internes 

Ce poste CDI est basé à Paris avec des déplacements réguliers dans les Délégations Régionales.
Pour plus de renseignements, contactez Catherine PIETRAVALLE à l’adresse suivante : catherine.pietravalle@alidoro.fr

Actualité RH

Mise en service de l’application « Mon compte formation »

L’application « Mon compte formation », disponible depuis le 21 novembre 2019, permet à tous les salariés d’accéder directement à leur compte personnel de formation (CPF). Grâce à cet outil, tous les salariés peuvent désormais choisir de réserver et de payer une formation en autonomie (c’est-à-dire sans l’intermédiaire de leur employeur, ou de Pole Emploi ou de l’Opco).

Accéder à son compte
Chaque salarié doit télécharger l’application et s’identifier au moyen de son numéro de sécurité sociale. L’ancien mot de passe de l’ancien portail internet du CPF reste valable. Pour les nouveaux utilisateurs, il suffit d’entrer une adresse mail valide pour en obtenir un.
Une fois la connexion établie, les utilisateurs doivent accepter les conditions générales d’utilisation. Passée cette étape, le solde des droits acquis s’affiche.
Une fois le choix de la formation effectué, les organismes de formation ont 48 heures pour répondre à la demande.

En cas de difficultés dans l’utilisation de cette application, une plateforme téléphonique est à disposition des salariés au 0970 823 551.

 

Accidents du travail et Maladies professionnelles : nouvelles règles à compter du 1er décembre 2019

Une nouvelle procédure de reconnaissance des AT-MP est applicable depuis le 1er décembre 2019. La dernière révision datait de 2009. Cette réforme encadre de nouveaux délais, des règles de décompte plus précis et une procédure d’instruction suivie par la CPAM (nouvelle procédure qui s’applique à tout accident professionnel ou maladie déclarés au 1er décembre 2019).

Outils dématérialisés
A l’occasion de l’entrée en vigueur de cette réforme, deux outils dématérialisés seront au service des usagers :

  • Le questionnaire en ligne dit « questionnaire risques professionnels » pour permettre à chacun de renseigner son ou ses questionnaires (des aides au remplissage sont prévues à cet effet) ;
  •  La consultation du dossier en ligne via une interface web pour accéder et commenter toutes les pièces du dossier. 


Nouveaux délais d’instruction
La réforme porte essentiellement sur les délais de la procédure d’instruction :

  • Délai initial d’instruction de 30 jours francs pour les AT
  • Délai porté à 90 jours francs si la CPAM engage des investigations pour les AT
  • Délai d’instruction fixé à 120 jours pour les MP (en l’absence de saisine du CRRMP*)
  • Délai d’instruction de 120 jours francs renouvelé pour les MP (en cas de saisine du CRRMP)

*CRRMP : Comité régional de reconnaissance des maladies professionnelles
Source : Décret n°2019-356 du 23 avril 2019, JO 25 avril ; Circ. Cnam n°28/2019 du 9 août 2019

 

Mettre en place le CSE au 1er janvier dans les entreprises de plus de 10 salariés

Au 1er janvier 2020, le CSE devra être en place dans les entreprises de plus de 10 salariés.

A cette date, tous les mandats des anciennes instances représentatives du personnel auront donc pris fin et le CSE devra avoir été institué dans toutes les entreprises d’au moins 11 salariés (effectif atteint pendant 12 mois consécutifs). Les anciennes institutions représentatives du personnel n’auront donc plus de légitimité.

Sanctions en l’absence de mise en place du CSE au 1er janvier 2020

L’absence de CSE équivaudra à l’absence de représentants de personnel, quand bien même des délégués du personnel ou un comité d’entreprise seraient toujours en place.

L’employeur pourra dès lors être condamné pour délit d’entrave : 1 an d’emprisonnement et 7 500 € d’amende. Il encourra également indirectement d’autres risques à condamnation dans des situations pour lesquelles l’existence de représentants du personnel ou d’un procès-verbal de carence est obligatoire.
Source : Code du travail : articles L2311-1 à L2311-2

 

Les résultats des élections du CSE doivent être transmis en ligne

L’ensemble des procès-verbaux (y compris de carence), établis à l’issue des élections des membres du CSE doivent être transmis par voie électronique au Ministère du Travail.
Le téléservice mis en place est accessible à l’adresse suivante : https//www.elections-professionnelles.travail.gouv.fr

En cas de scrutin sous enveloppe, deux options sont possibles :
1. Procédure de télétransmission après validation en ligne
2. Procédure de télétransmission après numérisation et téléversement du formulaire

En cas de carence, le formulaire homologué est imprimé, signé, numérisé, téléversé puis télétransmis par l’entreprise.

En cas de vote électronique, les résultats sont transmis, après validation de l’employeur, via le téléservice. Le cahier des charges doit le prévoir et le progiciel de vote électronique inscrit sur la liste du Ministère du Travail.
Dans tous les cas de figure, un accusé de réception électronique est délivré à l’employeur.
 
Source : Arrêté du 4 novembre 2019, JO 16 novembre, NOR : MTRT193175A

Fiche pratique

Entretien professionnel : le bilan des 6 ans approche !

Depuis la dernière réforme de la formation professionnelle du 5 mars 2014, l'entretien professionnel (qui est différent de l’entretien annuel d’évaluation) doit avoir lieu minimum tous les 2 ans (à partir de l'entrée dans l'entreprise du salarié, puis de la date de l'entretien précédent).

Toutefois, l'entretien professionnel doit être systématiquement proposé à tout salarié qui reprend son activité après une période d'interruption due à : un congé de maternité, un congé parental à temps plein ou partiel, un congé d'adoption, un congé de proche aidant, un congé sabbatique, une période de mobilité volontaire sécurisée, un arrêt maladie de plus de 6 mois, un mandat syndical.

Il est à noter que l'employeur a jusqu'au 31 décembre 2020 pour mettre en place le nouveau cadre de cet entretien professionnel.

État des lieux tous les 6 ans
Tous les 6 ans, l'entretien professionnel doit faire un état des lieux récapitulatif du parcours professionnel du salarié. Cet état des lieux permet de vérifier que le salarié a effectivement bénéficié des entretiens professionnels prévus au cours des 6 dernières années. Il permet également de s'assurer qu'au cours de ces 6 dernières années, le salarié a :

  • suivi au moins une action de formation,
  • acquis un des éléments de certification professionnelle (diplôme, titre professionnel, etc.) par la formation ou par une validation des acquis de l'expérience (VAE),
  • et bénéficié d'une progression salariale ou professionnelle.

Attention : cet entretien doit être organisé après 6 ans d’ancienneté du salarié dans l’entreprise. Un salarié embauché avant le 7 mars 2014 - date de publication de la loi instituant l’entretien professionnel - devra donc bénéficier de ce bilan en mars 2020 !

Source : Code du travail, article L6315-1

Vous souhaitez être accompagné dans la mise en place de ce bilan, contactez-nous par téléphone au 04.99.61.16.30 ou par email pascale.courant@alidoro.fr

Le chiffre

Seuls 32% des salariés aimeraient être à la place de leur manager

D'après une récente étude Korn Ferry, si salariés sont assez critiques envers leur supérieur hiérarchique, seuls un tiers aimerait être à leur place...

Que reprochent donc les salariés à leur manager ? 48% affirment que leur supérieur direct s'attribue les mérites de leur travail et 56% déclarent que leur manager les motive peu, voire pas du tout.
En revanche, ils sont tout de même 65% à reconnaitre apprendre des choses de leur manager.

Dans l'ensemble, les salariés ont conscience de la difficulté du rôle endossé par leur supérieur : à ce propos, seuls 32% accepteraient le poste de leur chef si on le leur proposait.

 Source : étude Korn Ferry, 2019.